Parfois, Old Wives Tales contient suffisamment de preuves anecdotiques pour inciter les scientifiques à y regarder de plus près. Voici cinq exemples où ces vieilles superstitions ont résisté à l'épreuve du processus scientifique.

La connexion des brûlures d'estomac et des cheveux

On dit que les femmes qui souffrent de graves brûlures d'estomac pendant la grossesse donnent naissance à des bébés avec des cheveux. C'était vrai pour maman Kelli Clifford. Elle a eu de graves brûlures d'estomac au troisième trimestre au cours de ses deux grossesses et, comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, sa fille est en effet née avec une chevelure pleine.

Maintenant, la science pense comprendre la corrélation. Selon des chercheurs du département de gynécologie et d'obstétrique des institutions médicales Johns Hopkins, il s'agit d'un mécanisme biologique partagé impliquant des hormones de grossesse qui détend à la fois le sphincter inférieur de l'œsophage et favorise la croissance des poils fœtaux.

Les spas réduisent le nombre de spermatozoïdes

Cela peut sembler une évidence, mais c'est un bon rappel. Les testicules sont positionnés à l'extérieur du corps pour une raison biologique - ils préfèrent les choses un peu plus fraîches. S'ils ont trop froid, ils peuvent même se rapprocher un peu du corps pour se réchauffer. La chaleur appliquée nuit à la production de sperme. La chaleur appliquée comprend des spas, assis sur un coussin chauffant pour soulager les muscles endoloris et même des chauffe-sièges de voiture. Je sais que c'est l'hiver les garçons, mais éteignez les sièges chauffants de votre voiture.

Comme l'a rapporté Menshealth.com, Larry I. Lipshultz, MD, chef de la division de la médecine reproductive masculine et professeur d'urologie au Baylor College of Medicine, a déclaré : "Des études ont montré que la chaleur appliquée peut vraiment altérer [la production de spermatozoïdes]", Cependant Lipshultz dit aussi. "Mais les recherches sur les effets des sous-vêtements serrés et de la chaleur indirecte ont été très incertaines."

Crédit photo : extrait du film Hot Tub Time Machine

Manger des bananes pour concevoir un garçon

Maintenant, attendez une minute. Je sais ce que tu penses. La science a compris depuis longtemps que c'est l'homme qui détermine le sexe du bébé, et non la femme. Oui c'est vrai. Mais, et c'est un gros mais, un environnement hospitalier est également important et ce que le sperme masculin juge hospitalier est différent du sperme féminin.

Selon la Royal Society B: Biological Sciences, il existe un lien certain entre l'apport énergétique - en particulier le potassium - et la conception d'un garçon. La façon dont la nutrition d'une femme affecte le sexe n'est pas entièrement comprise, mais le New York Times rapporte que de nombreuses études de fécondation in vitro montrent que des niveaux plus élevés de glucose encouragent la croissance des embryons mâles alors que l'inverse est vrai pour les embryons femelles.

Cette nouvelle étude implique que les embryons mâles sont moins viables chez les femmes qui limitent leur apport calorique, notamment si elles ont tendance à sauter le petit-déjeuner. Sauter le petit-déjeuner est connu pour faire baisser votre taux de glucose. Donc, si vous espérez concevoir un garçon, alors mangez plus copieusement. Pour une fille, sautez le petit-déjeuner.

Avoir un garçon signifie un travail plus long et plus dur

De nos jours, beaucoup d'entre nous savent bien avant le début du travail si nous allons avoir un garçon ou une fille. Mais ce folklore est antérieur à la technologie des ultrasons et le travail était un prédicteur clair - bien que de dernière minute - du sexe du bébé.

Cependant, nous pouvons inverser cette information pour une utilisation actuelle et dire que si vous avez un garçon, vous pouvez anticiper un travail plus long.

La logique indiquerait le fait que les bébés garçons ont de plus grosses têtes et ont tendance à être plus gros dans l'ensemble. Mais le National Maternity Hospital de Dublin dit curieusement que la taille n'était pas le principal facteur dans leurs résultats. Les données détaillées étudiées portaient sur les accouchements de 4 070 garçons et 4 005 filles à l'hôpital irlandais entre 1997 et 2000.

La chercheuse Maeve Eogan a déclaré dans une interview au Daily Mail au Royaume-Uni: «Nous ne savons toujours pas quelle est la réponse. Les garçons semblent souffrir plus de détresse dans l'utérus, ce qui suggère qu'il existe évidemment une sorte de vulnérabilité inhérente des nourrissons de sexe masculin à l'ensemble du processus de travail.

Les hommes sont plus susceptibles de nécessiter des interventions de travail telles que des injections d'ocytocine pour renforcer les contractions, des forceps et des accouchements par césarienne. Quelle que soit la méthode d'accouchement, les hommes sont également plus susceptibles d'avoir besoin de soins intensifs après la naissance, ce qui est directement lié à leur expérience de travail dans l'utérus.

Le Dr Maggie Blott, du King's College Hospital de Londres, a déclaré : "C'est un peu un conte de vieilles femmes, mais c'est généralement vrai et semble maintenant avoir un fondement."

Lire le rapport complet ici:

http://www.dailymail.co.uk/health/article-155508/Why-boys-born-mothers-trouble.html

Gagner un enfant Perdre une dent

Entre les nausées du premier trimestre et le reflux acide du troisième trimestre, il est facile d'imaginer pourquoi les dents d'une femme en souffriraient. Mais les causes vont au-delà. La grossesse augmente le risque de gingivite chez la femme - saignement des gencives enflées. La bonne nouvelle est que la gingivite induite par la grossesse disparaît souvent à la naissance du bébé. Ceci, associé au fait que de nombreux dentistes hésitent à traiter une femme enceinte, augmente la probabilité que les problèmes dentaires ne soient pas traités. Cependant, si vous avez plusieurs enfants et que vous n'êtes pas traité, vous courez un risque plus élevé de perte de dents.

L'étude menée par le New York University College of Dentistry, rapportée à 1800dentist.com, a révélé que "sur les 2 635 femmes qui ont participé, celles qui n'avaient pas d'enfants avaient perdu une à deux dents, tandis que les femmes avec des enfants avaient tendance à en perdre plus. Prenons, par exemple, les femmes de 35 à 49 ans : celles qui n'avaient qu'un enfant avaient perdu en moyenne trois dents, tandis que les femmes avec deux enfants en perdaient en moyenne quatre. Ce nombre de dents est passé à cinq pour les femmes ayant trois enfants et à sept pour celles ayant quatre enfants ou plus.

Rapport complet ici : http://www.1800dentist.com/study-reveals-link-between-pregnancy-and-tooth-loss/

Bonnie Jean Feldkamp est écrivain et mère de deux enfants. Si vous avez aimé cette publication, veuillez la suivre sur Twitter @writerbonnie ou l'aimer sur Facebook à www.facebook.com/WriterBonnie